Aperçu de Dying Light : The Beast - Une Immersion Électrisante dans un Monde Zombie en 2025

Titre original : Aperçu Dying Light : The Beast du 23/08/2025

Dying Light, la célèbre saga de zombies, fait son grand retour en 2025 pour fêter comme il se doit ses 10 ans avec un tout nouvel opus dont le nom est pour le moins équivoque. Plus fou, plus gore et plus riche que jamais… voici nos premières impressions sur The Beast développé par Techland depuis la gamescom 2025.

Les conditions de la preview

Lors de la gamescom 2025, la rédaction de JV a pu découvrir Dying Light : The Beast au cours d’une session durant approximativement 1 heure sur PC et ciblant en priorité une mission secondaire située au milieu de l’histoire.

Un nouveau territoire à “parkourir”

Le premier Dying Light se démarquait de la concurrence zombiesque par plusieurs aspects, le premier étant la capacité du protagoniste à se mouvoir à sa guise dans un environnement ouvert propice à une discipline urbaine… le parkour. Bien évidemment, cette spécificité répond présente dans The Beast, et s’avère plus fun que jamais. Kyle Crane se déplace avec une aisance rarement égalée dans une toute nouvelle région imaginée spécialement pour le jeu et qui répond au nom de Castor Woods. Notre anti-héros peut ainsi courir sur les toits, grimper ou bon lui semble ou presque et faire sien un monde ouvert qui devient alors le terrain de jeu idéal pour une expérience “zombie” électrisante.

Qu’il est plaisant de “parkourir” les différentes zones infestées qui composent Castor Woods. Que ce soit en ville ou au beau milieu de la forêt, Techland nous réserve en toutes circonstances bon nombres de surprises, bien souvent funestes, ce qui pousse à explorer toujours plus ce monde ouvert visuellement saisissant. Dying Light : The Beast prouve toute la puissance du C-Engine (pour Chrome Engine) avec ses graphismes d’une beauté remarquable, ses effets gores exacerbés et sa propension à nous faire voyager au cœur d’une apocalypse zombie.

Le gore est d’ailleurs l’une des marques de fabrique de la franchise qui pousse un cran plus loin cet aspect avec The Beast. Kyle Crane fait preuve d’une brutalité qui justifie à lui seul le titre du jeu. Il découpe, fracasse et “écoule du sang sur l'herbe verte de la plaine” pour notre plus grand plaisir. Les corps sont mutilés, découpés à chaque impact selon les coups portés, ce qui ajoute au réalisme du titre et nous gratifie d’un sentiment étrangement plaisant d’accomplissement après avoir survécu à une rencontre hostile. Techland nous avait promis du gore. Nous sommes rassasiés.

Dying Light The Beast m’a brutalisé pendant 1h à la Gamescom 2025 et j’en redemande...

La bête humaine

Dying Light ne serait pas Dying Light sans deux autres composantes fondamentales de la franchise, à savoir les combats et la nuit. Les affrontements ont clairement gagné en intensité depuis Dying Light 2 : Stay Human sans pour autant changer radicalement le feeling. Il est toujours possible d'esquiver et de repousser les ennemis puis de les rouer de coups avec une arme de mêlée qui sont diverses et variés, mais qui ont la fâcheuse tendance à s’user. Il est d’ailleurs recommandé d’éviter les zombies autant que faire se peut afin d’économiser ses ressources.

Les armes à feu ne sont pas en reste. Lors de notre mission qui consistait à réparer le réseau d’eau de la ville, un lance-flamme, un fusil d’assaut, un arc, un pistolet et même un lance-disque composait notre inventaire et les sensations de tir sont bien meilleures que sur les précédents opus de la saga. Enfin, Kyle Crane peut se transformer en “Beast”, ce qui lui octroie un surplus de puissance pour un temps limité. Libérer la bête qui sommeille en lui est vraiment jouissif. Et cela ne sera pas de trop pour venir à bout d’un bestiaire varié, autant infectés qu’humains, et hostile.

The Beast ne serait pas un jeu Dying Light sans son concept phare… la nuit. Une fois le soleil couché, il convient de se mouvoir à l'abris des regards et de ne faire aucun bruit afin d’éviter des créatures à la puissance et la voracité dévastatrice. L’expérience de jeu change alors radicalement. Chasseur tout puissant le jour, Kyle Crane devient une proie sous la lumière de l’astre lunaire. Cette dualité diurne/nocturne rend la création de Techland bien plus riche ludiquement parlant. A la nuit tombée, une mission qui se déroulait sans accroc peut rapidement tourner au désastre et cela fait tout le sel de ce jeu d’action-aventure.

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Nos impressions

Dying Light : The Beast est digne de ses illustres aînés et parvient à les dépasser sur tous les points qui ont fait le succès de ces derniers. Le parkour y est plus agréable que jamais. Les combats sont d’une intensité rarement égalée dans la franchise. Et le monde ouvert imaginé par Techland ne demande qu’à révéler tous ses secrets. C’est pour le moment un sans faute pour Kyle Crane et la bête qui sommeille en lui.

L'avis de la rédaction
Excitant