Good Boy : Le film d'horreur captivant de 2025 centré sur un chien terrifiant, avec une sortie française limitée

Titre original : Ce chien va vous terrifier dans ce film d'horreur de 2025 qui sort au cinéma dans quelques jours, mais il y a un hic !

Un long-métrage atypique s’apprête à bousculer les codes du cinéma d’horreur. Porté par une mise en scène audacieuse et des critiques déjà élogieuses, il promet une expérience déroutante. Pourtant, sa diffusion en France réserve une “surprise” de taille.

Une voix animale pour le cinéma horrifique

Le cinéma de genre aime réinventer ses créatures de cauchemar, mais cette fois, c’est un chien qui va faire frémir les spectateurs. Avec Good Boy, premier film du réalisateur américain Ben Leonberg, les spectateurs découvrent une histoire de maison hantée racontée à travers les yeux d’un Nova Scotia Duck Tolling Retriever nommé Indy. L’animal, véritable compagnon du cinéaste, est placé face à des forces invisibles que son maître, Todd (interprété par Shane Jensen), ne perçoit pas. Cette perspective singulière transforme un schéma classique en une expérience sensorielle inédite.

Ce chien va vous terrifier dans ce film d'horreur de 2025 qui sort au cinéma dans quelques jours, mais il y a un hic !

La critique internationale qualifie cette approche de coup de maître. IndieWire décrit le film comme "visuellement frappant et émotionnellement dévastateur", soulignant qu’il parvient à dépasser le simple concept pour devenir une œuvre obsédante. Sur Rotten Tomatoes, le long-métrage affiche un impressionnant score de 92% d’avis positifs, preuve d’un engouement certain pour une production indépendante. Indy, le chien, a même reçu le tout premier prix "Howl of Fame" au festival SXSW 2025, un clin d’œil au caractère unique de sa prestation.


Une sortie française éclair et frustrante

Si les spectateurs américains tremblent dans les salles obscures depuis le 3 octobre, la situation en France est bien plus singulière. La plateforme Shadowz, spécialisée dans l’horreur, a obtenu l’exclusivité de la diffusion. Résultat : Good Boy sera projeté durant un seul week-end, les 10 et 11 octobre, dans un nombre limité de cinémas sur le territoire français. Passé ce court laps de temps, il basculera rapidement en vidéo à la demande, échappant ainsi aux contraintes habituelles de la chronologie des médias. Cette stratégie de sortie express crée un double effet : d’un côté, elle accentue la rareté de l’événement pour les amateurs de sensations fortes, de l’autre, elle frustre ceux qui ne pourront pas se déplacer dans la fenêtre très réduite proposée.

Ce chien va vous terrifier dans ce film d'horreur de 2025 qui sort au cinéma dans quelques jours, mais il y a un hic !

D’une durée de 73 minutes, le film se présente comme une expérience brève mais intense, taillée pour marquer les esprits et s’imposer comme l’une des curiosités horrifiques majeures de l’année. Entre audace narrative, réception critique enthousiaste et choix de diffusion surprenant, Good Boy s’impose déjà comme un phénomène. Reste à savoir si cette sortie éclair en France suffira à lui offrir la place qu’il semble mériter auprès du grand public, ou si l’essentiel de sa carrière se jouera à l’international et sur les plateformes de streaming.