La nouvelle série du papa de Breaking Bad est là et elle fait l’unanimité. Son intrigue mêle science-fiction, satire sociale et casting de haut vol. Elle s’impose d’ores et déjà comme un incontournable de la fin d’année 2025.
Pluribus débarque sur les écrans ! La nouvelle série de Vince Gilligan - le papa de Breaking Bad et Better Call Saul - s’annonce à la fois ambitieuse et déstabilisante. En tête d’affiche, on retrouve Rhea Seehorn, déjà saluée pour son rôle dans Better Call Saul.
Une série audacieuse
Pluribus se déroule dans un univers où un virus transforme la quasi-totalité de l’humanité en êtres parfaitement optimistes et connectés à une sorte de conscience collective. Seule Carol Sturka (Rhea Seehorn), romancière malheureuse, est laissée pour compte.
La série, diffusée depuis le 7 novembre 2025 sur Apple TV (anciennement Apple TV+) et Canal+ en France, compte neuf épisodes pour sa première saison. Les deux premiers sont d'ores et déjà disponibles. Quant aux sept autres, ils sortiront à raison d'un épisode par semaine, chaque vendredi, jusqu'au 26 décembre prochain.
(Pluribus)
Retour des critiques : c'est parfait
La presse est quasi unanime sur Pluribus. Sur Rotten Tomatoes, la série affiche actuellement un score parfait de 100% d’avis positifs. Outre-Atlantique, la critique loue un mélange maîtrisé d’émotion et de satire, un scénario d’une précision chirurgicale et une mise en scène élégante qui rappelle le soin apporté à Better Call Saul.
En France, quelques voix plus nuancées se font entendre : certains médias évoquent une série « radicale et déroutante », au rythme lent mais au concept passionnant. D’autres saluent la performance de Rhea Seehorn, décrite comme « magnétique » et « à la hauteur du génie narratif de Gilligan ».
Déjà renouvelée pour une deuxième saison avant même la fin de la diffusion de la première, Pluribus semble bien partie pour s’inscrire dans la durée. Si l’on ignore encore les grandes lignes de la suite, Vince Gilligan a laissé entendre qu’il souhaitait « pousser encore plus loin l’idée d’un monde où tout le monde est heureux, sauf une ».