Ça y est, les premiers retours sur Avatar 3 sont tombés ! Alors, qu’est-ce que ça vaut ? On fait le point dans cet article.
On est le 17 décembre 2025 et si vous aimez les aliens tout bleus qui font la taille de LeBron James, vous savez que c’est la sortie d’Avatar de Feu et de Cendres… Le troisième épisode de la saga de James Cameron vient en effet d’arriver dans les salles obscures, et autant dire que ça va chauffer.
Jake (Sam Worthington), Neytiri (Zoe Saldaña) et leurs enfants rencontrent une nouvelle tribu Na’vi tout feu tout flammes, le Peuple des cendres, menée par Varang (Oona Chaplin). Mais bien sûr, en parallèle, le conflit sur Pandora, mené par les Hommes, continue…
Ça chauffe du côté de la critique
S’il est encore trop tôt pour parler des résultats au box-office, les premiers avis sont tombés ! Sur le célèbre agrégateur Rotten Tomatoes (qui fait autorité dans le milieu), Avatar de Feu et de Cendres décroche pour l’instant une note de 70% de la part de la presse, sur la base de 149 critiques. À titre de comparaison, le second volet sorti en 2022 est à 76%, et le premier (2009) est à 81%.

Si on se fie à cet indicateur, Avatar 3 serait donc l’opus le moins apprécié de la saga. Une tendance qui se constate aussi sur Allociné, sur la base des retours de la presse, où de Feu et de Cendres décroche une moins bonne note que ses prédécesseurs (3,5/5 contre 4,1/5 pour La Voie de l’Eau et 4,3/5 pour le premier épisode).
Un film trop proche du précédent ?
En France aussi donc, les avis sont bons mais pas unanimes. Libération et Le Parisien parlent par exemple d’une réussite autant sur le fond que sur la forme, et tout le monde s’accrorde à dire que le spectacle est clairement au rendez-vous.
Un reproche qui revient souvent, c’est la similitude entre Avatar 3 et le reste de la saga (en particulier de La Voie de l’Eau). Le Monde déplore que de Feu et de Cendres “laboure un terrain connu” ; l’Humanité parle des “mêmes ficelles narratives”.
De son côté, ÉcranLarge opte pour un entre-deux : “De Feu et de Cendres complète ou ressasse (...) les enjeux du précédent volet, si bien que les antagonistes sont devenus les principaux centres d’intérêt. Mais il le fait avec une intensité, une ambition et bien sûr un sens du spectacle qui décoiffent toujours autant”, écrit le média indépendant.